Autour des danses folks

les danses folk en bals

Le Bonheur, c'est un bal folk plein de vie où chacun danse avec son coeur, où les gens portent sur leurs visages des sourires rayonnants...

Le Bonheur, c'est parler avec ces gens, sans barrières et sans frontières, comme si l'on connaissait ces milles et un danseurs depuis une éternité...
Le Bonheur, c'est comprendre qu'on est tous les mêmes, et que cette danse lointaine nous rapproche à chaque pas...
Le Bonheur, c'est lever la tête en dansant et compter les étoiles qui éclairent de beauté cette piste de danse...
Le Bonheur, c'est s'accorder à l'autre et suivre ses mouvements dans une joie immense...
Le Bonheur, c'est entendre ces notes qui emportent nos rêves dans un royaume lointain qu'on ne peut que penser...
Le Bonheur, c'est sourire un matin et resourire le soir à cet même inconnu dont le visage rayonne et rayonnera toujours de cette lumière de joie qu'à engendrée la danse...
Le Bonheur, c'est se dire à demain lorsqu'enfin on se quitte dans un espoir certain de s'accorder encore...
C'est ce Bonheur que j'aime lorsque je danse

Delphine

Découvrir

Le folk et sa musique culminent dans la pratique du bal folk. On y danse, sans spectacle ni costume folklorique, sur des musiques aux influences diverses arrangées et revitalisées. Ces bals vivent et tournent en attirant un ensemble aux proportions imprévisibles d'hommes et de femmes, de passionnés, d'esthètes, de curieux, de fervents, d'occasionnels, de militants, de rêveurs, d'habitués ou d'originaux du samedi soir.

L'ambiance tonique et chaleureuse invite à bouger et à se rencontrer. La musique à la fois aérienne et profonde fait le pont entre le plaisir de jouer des musiciens et le plaisir à danser du public. Elle incite les habitués comme les néophytes à se lever et à participer au bal, pour une joie partagée de la musique et du mouvement.

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Retrouvez l’ambiance de la scène de la forêt !

<p>Paru début novembre chez Le Verger Éditeur, ce livre est illustré par plus de 250 photos prises par Jean-Georges Ott et les membres de l’association Le GRAPH. La mise en page de Pierre Marchant met en valeur tant d’artistes et de groupes programmés au fil des ans sur les différentes scènes de Summerlied.</p>
Summerlied, l'Aslace en musique. Ce livre est illustré par plus de 250 photos. La mise en page met en valeur tant d’artistes et de groupes programmés au fil des ans sur les différentes scènes du festival.

Un "petit bleu" d'infofolk en passant…

Ah ce plaisir de lire sur un calendrier qu'un bal folk va avoir lieu pas loin de chez soi ! Allez, les pompes confortables qui glissent bien et en voiture…

Du monde, une place agréable avec de beaux bâtiments, une grande scène avec projos et cracheurs de fumée et du matos en veux-tu en voilà… Les gambettes frétillent, l'impatience est là.
Enfin l'orchestre arrive. S'installe. Contre-basse, guitare, violon… on est dans le sérieux. Une première danse est annoncée… micro pas encore bien réglé, pas compris mais pas de panique, nous sommes des pros du trad, nous allons reconnaître, tu penses… et la musique explose ! Pourquoi les sonorisateurs sont-ils tous sourds ? Ou pourquoi le danseurs trad ont-ils les esgourdes affûtées ?
Mais on s'en fiche, on est là pour danser.

Shamalow et néotrad - 2/2

Photo Samuel LagneauLe lendemain, lecture de la liste des ateliers. Dommage, rien ne m’attire en particulier. Je relis pour vérifier. Tiens, qu’est-ce ? « Mazurka intime » parquet 8. Ouuuuuulala, ça m’intéresse ça. D’après ce qu’on dit de moi, je mets autant d’intimité dans ma danse qu’un cochon met de Proust dans ses grognements, alors hein ! Peut-être puis-je m’améliorer (ouiiiiiiiiiii je sais que tu en doutes mais j’ai le droit de rêver verflucht nochmal !

Shamalow et néotrad - 1/2

par Jean-Paul d'Infofolk.

Tu connais la chanson de Joe D. « aux Champs Elysées » ? Boooon, tu te racles la gorge et tu te lances :
« je m’ baladais, a Saint-Gervais,
Entre les parquets, où qu’ça dansait
Et j’portais mon attention sur les couples en connexion… »

Pas mal, pas mal du tout ; faudrait seulement que tu montes un peu la 2è note, que tu baisses par contre la 4è, un ton plus bas pour la suivante mais carrément 2 tons plus haut pour les 2 suivantes… presque parfait sinon !

Mes premiers pas en bal folk

De l’hésitation… au plaisir
Questions et a priori
Mes premiers pas
Une liberté s'installe
De l'assurance au plaisir
Naissance d'un style
Du pur bonheur

Qu'est ce qu'un bon danseur ?

Par les grands spécialistes de la danse traditionnelle : Yvonne Paire, Eric Champion, Pierre Corbefin, Françoise Etay, Edith Lozano Huguet, Samuel Ouvrard, Philippe Pasquihr, Lucienne Porte-Marrou

Règles de danses

Sans s’en rendre forcément compte, les mouvements des danses respectent certaines notions. Symboliques, historiques ou simplement pratique, ces habitudes permettent une bonne cohésion entre les danseurs.

De la communication à la complicité

Pour s’accorder dans la danse cavalier et cavalière sont à l’écoute l’un de l’autre. Cette communication passe par le contact, le regard, le sourire et le geste. De nombreux danseurs se sont exprimés sur le grand forum de monde trad et folk qu’est TradZone afin de donner leur vision de la communication et la complicité en danses traditionnelles de bal folk. Voici quelques-unes de leurs réponses.

Mazurkas, stats et pensées en vrac

Pour qui est-ce le plus difficile ? Celui qui connaît les danses et qui danse avec quelqu’un qui ne sait pas ou celui qui ne connaît pas les danses et qui veut suivre un danseur initié.

 

Pourquoi "Les 4 pas de base" ? par Eric Limet

Voilà quelques années que je lis, que j'entends cette expression. Dans l'annonce de stages, dans l'un ou l'autre livre ou article. On y affirme comme une évidence : en danse folk, il y aurait 4 pas de base, la polka, la scottish, la valse et la mazurka. Je ne sais pas d'où vient cette règle, toujours présentée comme une chose allant de soi. 

Le bal folk, l'alibi de la baise ? par Epistémologix

Beaucoup de prophètes, naguère, ont estimé que les danses traditionnelles remontaient à la préhistoire et que certaines avaient été à l'origine des rituels d'initiation sexuelle. Non seulement j'incline à penser comme eux, mais j'irai plus loin : je pense que c'est évident, même si nous sommes gênés de le reconnaître. Dans le cadre de notre séminaire d'aujourd'hui, je me propose donc d'aborder avec vous en toute franchise un sujet tabou, que dans un souci de clarté indifférent à tout pédantisme, j'intitulerai : «le bal folk, c'est l'alibi de la baise».

Monsieur, voulez-vous danser avec moi ?

Depuis que j'anime Barnas, bals folk et autres fêtes de mariage, d'anniversaire, de célébrations diverses, j'ai toujours essayé, et souvent avec succès, de lutter contre une tendance générale déjà ancienne : dans les "groupes folkloriques", dans les bals, il y a presque toujours plus de filles que de garçons, de femmes que d'hommes. Le rapport est parfois de 1,5 à 1, mais souvent de 3, voire 9 à 1 !